Midoum

L’ESCALOPE CORDON VERT

En 2020, l’Escalope Cordon Bleu Le Gaulois a participé à la 5ème édition du Grand Prix Cuisine Actuelle. Ce sont 200 testeurs et 5 influenceurs qui ont été sélectionnés pour élire leur produit préféré parmi une sélection de 18 produits. Le vote portait sur 5 critères : la présentation, la saveur, la texture, l’originalité et la praticité. Dans la catégorie Prêt à cuisiner, l’Escalope Cordon Bleu garnie au comté et bacon Le Gaulois a donc été testée et approuvée par ce panel de consommateurs qui a reconnu ses qualités gustatives.  » Un produit rapide et facile à préparer. Un bon rapport qualité-prix. Un produit super gourmand. » de Mélina ;  » Vraiment très bon, nous avons beaucoup apprécié le goût et la cuisson est des plus faciles. » de Katia ; « Produit fondant et croustillant, l’escalope est très tendre. Très savoureux et agréable en bouche. » de Jacqueline

L’ESCALOPE CORDON ROUGE

En 2020, l’Escalope Cordon Bleu Le Gaulois a participé à la 5ème édition du Grand Prix Cuisine Actuelle. Ce sont 200 testeurs et 5 influenceurs qui ont été sélectionnés pour élire leur produit préféré parmi une sélection de 18 produits. Le vote portait sur 5 critères : la présentation, la saveur, la texture, l’originalité et la praticité. Dans la catégorie Prêt à cuisiner, l’Escalope Cordon Bleu garnie au comté et bacon Le Gaulois a donc été testée et approuvée par ce panel de consommateurs qui a reconnu ses qualités gustatives.  » Un produit rapide et facile à préparer. Un bon rapport qualité-prix. Un produit super gourmand. » de Mélina ;  » Vraiment très bon, nous avons beaucoup apprécié le goût et la cuisson est des plus faciles. » de Katia ; « Produit fondant et croustillant, l’escalope est très tendre. Très savoureux et agréable en bouche. » de Jacqueline

L’ESCALOPE CORDON BLEU

En 2020, l’Escalope Cordon Bleu Le Gaulois a participé à la 5ème édition du Grand Prix Cuisine Actuelle. Ce sont 200 testeurs et 5 influenceurs qui ont été sélectionnés pour élire leur produit préféré parmi une sélection de 18 produits. Le vote portait sur 5 critères : la présentation, la saveur, la texture, l’originalité et la praticité. Dans la catégorie Prêt à cuisiner, l’Escalope Cordon Bleu garnie au comté et bacon Le Gaulois a donc été testée et approuvée par ce panel de consommateurs qui a reconnu ses qualités gustatives.  » Un produit rapide et facile à préparer. Un bon rapport qualité-prix. Un produit super gourmand. » de Mélina ;  » Vraiment très bon, nous avons beaucoup apprécié le goût et la cuisson est des plus faciles. » de Katia ; « Produit fondant et croustillant, l’escalope est très tendre. Très savoureux et agréable en bouche. » de Jacqueline

Participation de Poulet Midoum au SIALO 2022

Midoum-SIALO-2022

Poulet Midoum a participé à la neuvième édition du Salon International de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire de Lomé (SIALO) qui s’est tenu du 25 octobre au 02 novembre. Un événement international ayant réuni les acteurs agricoles du Togo et de la sous-région. Au cours de ce salon, nous avons pu exposer et toucher des personnes ne connaissant pas nos produits. SIALO a été un lieu de rencontre, d’échange, de découverte et de promotion de la consommation local.

Note d’information relative à l’ajustement de nos tarifs

Cher client, Nous sommes face à une nouvelle augmentation des prix des produits alimentaires de bases pour nos élevages. Nous souhaitons maintenir la qualité de nos volailles (sans hormones, sans additifs) pour mieux vous servir, c’est pourquoi nous sommes contraints de réévaluer nos tarifs. Vous trouvez la grille ci-dessous. Vous faites confiance aux produits Midoum et nous sommes heureux de vous compter parmi nos clients. Nous vous remercions pour votre fidélité. Merci pour votre compréhension. Midoum, la saveur du naturel

Pourquoi pas le Togo ?

POULET-

‘’Dans peu de temps, la Côte d’Ivoire sera parmi les pays autosuffisants en viande de poulet et sera même en mesure de desservir les pays de la sous-région et même du monde’’. C’est du moins ce qui ressort des propos du chef d’un important projet d’élevage de poulets et d’usine d’abattage de volaille à Man. En effet, au cours d’une réunion de sensibilisation des populations riveraines, à l’hôtel communal de Man, hier jeudi 12 mai 2022, Dr Essoh Franck, chargé du suivi et de la faisabilité, et chef de ce projet, a plus que jamais mis du baume au cœur des populations de Krikouma et environs. Il faut dire que l’Etat de Côte d’Ivoire entend faire en sorte que les Ivoiriens aient à leur disposition et à moindre coût la protéine animale, qui conditionne une alimentation saine. Depuis lors, des dispositions sont prises au niveau du ministère des Ressources animales et halieutiques, pour pallier le déficit national en la matière. Notamment, en viande de poulets dont la Côte d’Ivoire importe une grande partie. C’est dans ce contexte, que le gouvernement a décidé d’inverser la donne. ‘’Produire beaucoup, satisfaire la demande nationale et exporter’’, selon l’expert Essoh. Déjà, le 21 novembre 2021, le ministre des Ressources animales et halieutiques, Sidi Tiemoko Touré, lui-même, s’est rendu à Kricouma, village communal de Man, pour poser la première pierre de ce centre de reproduction de volaille. Cette ferme de grands parentaux va nécessiter, pour son installation, 150 hectares de parcelle. C’est pour éclairer les riverains sur les questions techniques et le dédommagement liés à la réalisation du projet, que l’émissaire du ministère des Ressources animales et halieutiques a rencontré les riverains avec à leur tête, les chefs coutumiers. ‘ ‘’Quand l’Etat de Côte d’Ivoire est engagé dans un projet, il l’achève, tôt ou tard’’, a rappelé Dr Essoh qui a fait savoir, ensuite, que la question de la biosécurité est l’un des critères qui ont favorisé le choix de Kricouma. D’où son invite aux populations à demeurer dans cette disposition. À côté de Kricouma, à Seupleu, trois hectares sont en train d’être aménagés pour la construction d’un abattoir de 16.000 poulets par jour. En définitive, toutes ces infrastructures vont générer des centaines d’emplois et booster le développement économique dans cette zone du Tonkpi. Face à cet objectif d’autosuffisance en viande de poulet, en passe d’être atteint en Côte d’Ivoire, il est intéressant de se poser la question : pourquoi pas le Togo ?

Devenez fournisseur MIDOUM aujourd’hui

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Vous avez une ferme? Vous avez une capacité de production d’au moins 1000 poulets de chair Cobb ou Sassos par cycle, Vous avez au minimum 2 années d’expérience dans le domaine avicole, Vous avez une structure légalement constituée. Venez donc rejoindre la grande aventure MIDOUM en devenant Fournisseur contractuel. Vous bénéficierez non seulement du suivi et de l’assistance de notre ingénieur zootechnicien qui veille au respect de la production suivant notre cahier des charges, mais aussi et surtout d’un MARCHÉ SÛR. Contactez-nous au 99 99 67 98

Les non-dits sur la question du poulet local

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Sur la chaîne de production du poulet (poussins, provendes, produits vétérinaires, abattage, distribution), les acteurs de la filière avicole au Togo notent d’emblée que le coût de production est trop élevé. L’aliment (provendes) à lui seul retient 70% des charges. Du coup, s’il y a un paramètre sur lequel il faut rapidement agir pour réduire drastiquement les coûts de production, c’est bien-sûr les aliments.  « Dans la composition de l’aliment, l’énergie est représentée par le maïs. Or, depuis un certain temps déjà, le maïs est hors de portée en termes de prix alors qu’il représente 50% des coûts de production de la provende. Non seulement le maïs, il y a également le soja qui représente les protéines, lui aussi au départ était prenable mais devenu aujourd’hui de l’or », relatent les acteurs de la filière. L’autre facteur qui ne favorise pas la compétitivité des poulets locaux, ce sont les taxes douanières perçues sur les importations des poussins d’un jour et des produits vétérinaires pour les soins des sujets.  Des contrats non respectés En 2019-2020, des contrats avaient été signés avec les distributeurs (commerçants-exportateurs) où il était question pour ces derniers de prendre une quantité au niveau national avant d’avoir l’autorisation d’importer. Précisément, les importateurs devraient absorber en moyenne 10% de la production locale et c’est la condition à respecter avant toute délivrance d’autorisation d’importation.  « C’était dur au départ mais à un moment donné on arrivait à le faire et cela à apporter un véritable soutien aux producteurs locaux surtout dans la filière avicole », témoignent certains importateurs. « En notre âme et conscience, nous savons très bien que ce que nous importons, ce n’est pas avec ça que nous pouvons créer de la richesse locale. Mais à un moment donné, on s’en rend compte que certains font l’effort et d’autres pas du tout. Ils passent par des chemins détournés pour avoir des autorisations et se moquent de nous qui avons accepté de participer à cet effort national », relatent d’autres. « Si nous nous devons participer à un effort national et que certains ne veulent pas le faire, pire encore, les autorités regardent sans rien dire, on abandonne tous. C’est ce qui a fait que nous avons tous abandonné les éleveurs locaux pour continuer uniquement l’importation. On ne fait pas de business pour perdre. Il faudrait revenir à cette formule d’assujettir l’importation à un quota d’achat local et amener tous les services d’importation à respecter les règlements. C’est la seule façon de valoriser le produit Local », proposent les importateurs de bonne foi. Un nouveau départ Un million de volailles sur pied est importé annuellement, une tendance que veut renverser le Conseil Interprofessionnel de la filière avicole. Pour le compte de l’année 2022, la filière se donne pour objectif de produire localement au moins 4 millions de poulets pour satisfaire la demande locale.   La vision aujourd’hui est d’amener les importateurs à diminuer progressivement les importations au même moment que les dispositions sont prises pour renforcer la production nationale. Les différents acteurs des trois maillons (producteurs, transformateurs et distributeurs) pour mieux valoriser le poulet local, ont scellé cette semaine à Lomé, un contrat de l’interprofession de la filière avicole. « C’est un travail de négociation de 12 mois qui a permis d’accoucher ce le contrat interprofessionnel. Il assurera une bonne fluidité dans la production, la transformation et la distribution de viande de poulet issue du terroir », explique Sinko Banakinao, président de l’interprofession de la filière volaille. Selon M. Banakinao, cette contractualisation ouvrira un marché de vente pour les producteurs et sera bénéfique pour tous les acteurs de la chaîne de valeur poulet Théoriquement, le contrat contraint à nouveau les importateurs à signer, avant toute importation, une quantité de distribution de la production locale. Il fixe surtout les taux en fonction de la nature du produit que l’opérateur veut importer. De 10% comme taux imposé en mai 2020 aux importateurs, l’interprofession veut passer à 30% de la consommation locale en 2022. Cette innovation permet aux éleveurs de disposer d’un marché avant même la production. « Tant que l’importateur ne signe pas un contrat avec un producteur au niveau local avec une attestation, c’est que de l’autre côté il n’aura pas l’autorisation d’importation.  Cela permettra à la production locale d’être valorisée et consommée, », précise le président à agridigitale.net. Si le rôle de l’interprofession est de veiller à ce que les termes des contrats soient respectés, le gouvernement a également sa part de responsabilité pour contraindre les principaux acteurs à honorer leurs engagements. Lors d’une récente réunion entre le ministre chargé de la consommation locale et les principaux acteurs, Kodzo Adedzé a fait savoir que les sanctions ne devraient plus tarder pour punir les opérateurs indélicats. « L’heure n’est plus au discours. S’il faut attendre que tout le monde comprenne avant qu’on ne marche, on va mourir ensemble. Et pour éviter de mourir ensemble, il faut sanctionner », avait-il laissé entendre. « Nous bloquerons une bonne partie des importations. Ça va faire mal mais on va le faire. Quand on prend une cargaison, on va frapper quel que soit celui qui est derrière, sinon on n’est plus crédible », avait menacé le ministre du commerce. Un discours de fermeté qui semble rassurer les acteurs de la filière. Source : agridigitale.net

Changement des prix à partir du 1er octobre 2021

Changement des prix à partir du 1er octobre 2021

Cher client, Vous faites confiance aux produits Midoum et nous sommes heureux de vous compter parmi nos meilleurs clients. Nous vous remercions pour votre fidélité. Nous souhaitons vous informer du changement de tarification des produits Midoum à partir du 1er octobre 2021 pour deux principales raisons : Notre volonté de toujours vous offrir le meilleur nous a conduit à faire ce choix difficile, afin de garantir des volailles de qualité, élevées dans le strict respect de notre cahier des charges (sans hormones, sans additifs). Vous voudrez bien prendre connaissance des nouveaux tarifs ci-dessous. En vous remerciant pour votre compréhension. Midoum, la saveur du naturel.

Recette de cuisses de poulet Midoum

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Pour une recette de cuisses de poulet pêché dans un court bouillon et cuit au four, il faut: Commandez vos produits Midoum dans votre point de vente le plus proche. Numéro de téléphone: 99996781